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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 20:32

... le père (the father, himself) !!!

Qui m'adresse ce texte... je vous le livre :



"Ce livre est magnifique. Une évidence, une banalité (pas le le livre, la réflexion). C’est étrange pour les parents de Nicolas de le découvrir , le re-découvrir. Quel voyage ! Merci Anne.

C’est quoi être parent d’un tel talent ? Une surprise ? Une fierté ? En tout cas c’est un sentiment étrange.

Pour nous (papa, maman) ce n’est évidemment que du bonheur et ce que nous souhaitons - au-delà de son art par définition public - c’est qu’il soit heureux . Sur ce que l’on connaît, c’est le cas : Marie talentueuse, d’une intelligence extrême, et les petites, ah les petites ! Elles sont belles, mignonnes, rigolotes, Eve et Tess. Normal ce sont nos petites filles.

Anne, Avez-vous vu nager  Nicolas ? Impressionnant, comme son frère Rodolphe.

La guitare, il est pas mal, çà donne ...

Les NTIC, il connaît. 

Vous voulez changer le sol de votre appartement, une adresse “Nicolas & Co “, c’est fait en une nuit. 

Bref, il est super. Quel artiste ! Quel homme ! Quel fils !

 

Encore bravo pour LE LIVRE. Que du bonheur pour nous, et plein d’émotions, comme le blog dans lequel on aime se perdre et découvrir.

Bon, un jour peut-être, Odile vous dira tout (ou presque) ce qu’elle ressent.

Nous, la maman et le papa, cette photo là on l’aime bien.

 

Amicalement,

Odile et Christian " 


----------------------------------------------
Je précise que :
- non, je n'ai jamais vu nager Nicolas, on a eu l'intention de faire des photos sous-marines, pas eu le temps... Some other time ?
- les NTIC, c'est quoi ?!?
- cette photo là, je l'aime bien aussi, oui... Je me souviens de cette actrice dans la loge de Nicolas après un Boléro, elle avait eu ces jolis mots : "un habit de sueur", j'ai donné ce nom à cette photo...

&...Dear Mr Le Riche, thank you so much ! Highly appreciated ;-) 






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19 décembre 2008 5 19 /12 /décembre /2008 14:01


Miracles de l'impression. (...)

Les mangeurs de patates, projetés à Garnier... Je les trouve inquiétants, des hommes tatoués, dans le temple de la danse... Etrange, non ?

Je peux toujours prétendre que oui, j'étais là, mais je n'ai rien vu.

Si ce n'est...
de merveilleuses erreurs.



Miracles in printing (...)

The potatoes eaters, transferred in Garnier... I find them impressive, these guys with their tatoos, in the temple of dance... Strange, isn't it ?


I can always pretend that yes, I was there, but I didn't see anything.
Except...
Beautiful mistakes.

• 


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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 17:50
Noël, c'est dans une semaine... !

Certains danseurs seront sur scène... Comme Nicolas dans "Le sacre du Printemps", ou "Serait-ce la mort".

Où passer Noël ?
Je ne l'ai pas encore fait, mais bientôt, j'y songe : passer Noël en famille à New-York.
Je me souviens néanmoins d'avoir passé la dernière semaine de l'année là-bas... Ce fut mémorable ;-) . J'ai envie de dire : épatant.

Voici mon cadeau de Noël, donc, car j'aime les traditions : des images non publiées de Nicolas à New-York.
RENDEZ-VOUS DANS L'ALBUM : NICOLAS, NY CITY

Enjoy !

Et joyeuses fêtes à toutes & à tous... 



 


Christmas, it's  in one week from today !

Some dancers will be on stage... Like Nicolas in "Le sacre du Printemps", or "Serait-ce la mort".

Where to go for Xmas ?
I haven't done it yet, but I'm seriously contemplating it, next year maybe : spending Xmas with my family in New York City.
I remember spending new years'eve in NY... It was memorable. Highly enjoyable.

So here is my Christmas present for you, since I like traditions : unpublished images from Nicolas in NY city.
PLEASE HAVE A LOOK AT THE ALBUM : NICOLAS, NY CITY


Enjoy !

& have a wonderful Christmas time... 

 








 
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15 décembre 2008 1 15 /12 /décembre /2008 10:17

 
Miracles de l'impression.

(...)

L'autre, le même, le mieux que moi...
Je l'appelle "la cathédrale" 

Je peux toujours prétendre que oui, j'étais là, mais je n'ai rien vu.

Si ce n'est...
de merveilleuses erreurs.




Miracles in printing

(...)

Somebody else, another myself, a better one...
I call this imae "cathedral" 

I can always pretend that yes, I was there, but I didn't see anything.
Except...
Beautiful mistakes.


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14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 14:07
Quoi de plus fumeux, parfois, qu'un commentaire de journaliste ?

(Humeur du jour : irrévérencieuse...)

Voici la scène.
Fin août, début septembre ?
Le bureau d'une rédactrice en chef. Je lui tends le livre, à peine achevé d'imprimer quelques jours plus tôt. C'est une première fois.
Je suis prête à tout, je n'ai plus le choix,je le sais. Exposée. Je dois laisser de côté mes émotions, ma passion, oublier ces heures passées à photographier, à scruter des planches contacts, à trier, à choisir, à construire un livre comme un voyage. Je dois passer sous silence toute la ferveur de Nicolas, et la mienne, pour que ce livre procure le plus de bonheur possible à ceux qui l'ouvriront. Pour qu'il soit fidèle, aussi, et juste, et sincère. Et beau, tant qu'à faire. Et unique. Bien sûr nous avons eu tous ces espoirs là, sinon à quoi bon ?
Je dois taire les hésitations, le goût du détail, l'ardent perfectionnisme qui fut le nôtre pendant ces longs mois de construction du livre. Je dois taire aussi toutes les vibrations de six années, toute la beauté d'un geste, l'humanité d'un homme, et l'inspiration d'une photographe.
Bref, je dois me taire, tendre un livre, et être prête à tout recevoir. Tout et n'importe quoi. Je suis prête. Enfin, je crois...

La femme ouvre le livre, prévient : "Je n'ai pas le temps de le regarder en entier", commence, tourne les pages, d'un côté, puis de l'autre. Elle ne s'arrête pas. Elle tourne, finalement, ces 352 pages. Sans un mot.

Je ne peux pas décrire ce que c'est, ce silence, quand vous avez mis toute votre âme dans un travail et dans un livre. C'est peut-être la pire insulte, c'est le "rien", voilà, ce livre ne lui inspire rien. Si au moins elle pouvait dire "je déteste", et expliquer pourquoi, ce serait déjà quelque chose : ce serait instructif. Mais non, je n'ai le droit qu'au silence, jusqu'à la dernière page. J'en suis à penser que j'aurais du fuir, après avoir tendu ce livre, mais fuir vraiment, à toute berzingue, visuellement c'aurait été drôle, ça aurait fait "vvvwwwoufffffffff" comme quand les Bip-Bip foncent pour ne pas croiser Vil Coyote. Bref je suis restée, il fait silence,là maintenant tout de suite, alors j'ai le temps de me souvenir de tous les commentaires imaginés, anticipés, bons ou mauvais, afin de me préparer à tout recevoir, quand je regardais une rotative cracher ces pages par milliers, à l'imprimerie. J'avais le temps de réfléchir, de me préparer. J'étais bien, à l'imprimerie, je n'étais pas encore exposée. Protégée, encore, tant que l'encre n'avait pas séché.
Seulement voilà, je n'avais pas pensé à ça : le silence. Et là, ici et maintenant, dans ce bureau, je suis désemparée.

Et puis... un miracle. Elle va pour ouvrir la bouche. Je le vois, je le sens, elle va parler. Les 3 autres personnes présentes sont comme moi, immobiles, en attente, tendues vers cette femme. "Ô Madame, je vous en prie, dites quelque chose, vous qui savez, vous qui êtes si fine, si sensible, si percutante..." telle est ma prière silencieuse. Je me sens minuscule. Et enfin, elle lâche des mots, ces quelques mots.
Elle dit : "Alors, il fume ?"

Face à une telle puissance, je réponds avec brio : "euh, ben, oui, enfin...c'est-à-dire que... hm...hmmm... pas mal de danseurs fument, en fait...rhmmm... Et puis, il fumait, mais il ne fume plus. C'est-à-dire que... Enfin, j'veux dire...euh...On a hésité à mettre ces photos, mais Nicolas a dit "c'était ma réalité à ce moment là...on ne va pas censurer." (de mieux en mieux ! courageuse, la photographe, ben voyons...je me gifle mentalement) Et puis j'étais d'accord... (ah quand même ! pauvre fille !) donc Ouais (je dis "OUAIS" ! alors que je passe mon temps à répéter à mon fils "OUI Maman, pas OUAIS")... Ouais, il fume. Ait. Mait. Pardon, euh... il fumait. A l'imparfait. C'est ça, voilà, c'est imparfait, hi hi !"
Personne ne rit. Moi je ris jaune, ou noir.
Ainsi s'achève ma première réponse au premier commentaire reçu. Pas de doute, c'est du "live"...
Et comme le silence menace de se réinstaller, j'ajoute, et c'est l'apothéose : "Remarquez, je pense que les danseurs éliminent plus de toxines que les autres, alors, finalement..."

Voilà. L'épreuve du feu (ah ah), la première fois que je montre ce livre, je m'entends épiloguer sur le côté non politiquement correct de la cigarette, et sur les méfaits comparés du tabac chez les athlètes et chez le vulgus pecum. C'est parfait, vraiment.
J'imagine que le vide de mes propres mots m'occupe, et m'empêche de prendre le livre "quel pavé, dites-donc !" ajoute-t-elle, le pavé, donc, pour assommer la première rédac'chef qui a regardé ce livre.
Non mais c'est vrai, aussi, imaginez : vous pensez, rêvez, vivez danse et photographie, mouvement et image, rencontre et inspiration, échange et création, et tout ça pour s'entendre dire : "Alors, il fume ?"

Tous mes espoirs de transmettre, de partager, de suggérer, s'envolent en fumée.(hé hé). "Plaire, instruire, émouvoir", tu parles, aux orties Aristote ! Je range le pavé en me disant qu'il manque une étiquette sur la couverture "la bêtise tue", je regarde mes pieds, je soupire, je dis au revoir à la dame. Et en souriant, encore. Cà me fait bizarre aux coins de la bouche, mais bon. Heureusement, il n'y a pas de photo de cet instant-là.
Je me retrouve dans la rue, atterrée. Les restes de cette grimace au bord des lèvres, un clown, triste, évidemment. Je ne bouge pas, je réfléchis. J'allume une cigarette, aussi. C'est le genre de rendez-vous qui vous laisse hagard, qui vous plombe une journée, qui vous fait vous demander ce que vous aviez bu le jour où, stupidement, vous avez eu l'impression d'avoir, peut-être, le début d'une petite ébauche de commencement de talent. Vous regardez toutes vos illusions réduites en cendres (hi hi) et vous rédigez mentalement votre CV : "ex-photographe amateur, fumeuse -en voie de guérison-, accepterait n'importe quel travail". Vous montez dans votre voiture, vous posez le livre sur le siège du passager, comme un compagnon désolé, vous avez envie de lui parler et de lui dire, comme les enfants prononcent ces mots "ce n'est pas grave !", avec un petit geste tendre et caressant de la main, et puis vous démarrez et vous remarquez à ce moment-là que les voitures aussi, elles fument.
C'est sans doute à cet instant que je me suis souvenue que j'ai toujours aimé faire ces images, ces portraits de gens qui fument. J'aime ces gestes, et les attitudes qui vont avec. Images souvent perdues d'avance, puisque peu de magazines les publieront. Suis-je bête, j'avais oublié ! ça fait longtemps que Lucky Luke ne fume plus...

Allez... puisque je suis d'humeur irrévérencieuse, disais-je, petit florilège : de l'Opéra au penthouse du Château Marmont -hotel légendaire, repaire de stars à Los Angeles- certains fument, ont fumé, ou fument encore...

 

 






Et puis, une fois n'est pas coutume... Puisque mon ordinateur prend des photos tout seul, comme un grand : voilà. Un vrai clin d'oeil. Oh, la photo est un peu ratée, ce n'est pas grave...
Voici l'auteur, réfugiée dans son bureau, après un rendez-vous d'anthologie... ;-)





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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 22:02






Un studio. Un danseur. Et l'essence du geste.

Un photographe... et puis, toute une équipe : coiffeur, maquilleur, styliste, assistants... du matériel, des valises, des flashes ou des projecteurs HMI, du café, des téléphones, de la musique, et mille autres choses... deux doigts de patience, un peu de sueur, et la foi chevillée au corps.

Voilà, une image, construite, voulue, désirée, c'est un peu tout ça. Parfois un assistant, ou un observateur privilégié, prend quelques snapshots. Et pense à les donner, après. On appelle ça, dans notre jargon, le "making of", littéralement, "la fabrication de". On a toujours du plaisir à les regarder.

Combien de mains pour faire une image ? 

Ou combien de pieds ? ;-) 






A photo studio, a dancer, and the essence of movement.

A photographer, and the whole team : make-up & hait artists, assistants, stylist... lots of device, suitcases, big equipment and little things, flashes or HMI, polyboards, cables... A bit of patience, enough sweat, and faith.

Here we are. When an image is built, wanted, desired, you need a million things and a bunch of people to make this image. Sometimes an assistant, or a precious observer would take some snapshots. And would give them afterwards. It's always a pleasure to look at these snapshots. In our vocabulary, we call it "the making of", it is, litteraly, about "making".

How many hands to make an image ?

Or how many feet ? ;-) 



  






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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 00:17

Evidemment vous vous êtes demandé ce que cette image faisait dans le livre. Oh, c'est trois fois rien. Juste un écho. Immense. Ruben Alterio, peintre, dans le spectacle initié, voulu et conçu par Nicolas Le Riche : ECHO.

Nicolas a voulu rassembler quelques amis pour croiser des chemins et offrir au public le résultat de ces échanges. Ce fut ECHO, des moments de grande douceur, des éclats de rire et des résonnances, partout, dans l'amphithéâtre Bastille devenu lieu de résidence de quelques artistes en liberté. Nous avons été heureux. Merci Nicolas.

Quant à Ruben...

Le noir était rouge.

L'histoire ne dit pas s'il peignait un bonhomme, un crucifié ou Nicolas. Enfin si, elle le dit, mais je ne vais quand même pas tout vous révéler. Que dirait votre imagination ?

Le rouge Ruben l'a trouvé dans ce que j'ai nommé mentalement la "chambre des couleurs", au fond de l'atelier décoration de l'Opéra Bastille. Un lieu de rêve, ou des pigments par dizaines se livrent un joyeux combat. Ruben a choisi le rouge, puis un rouge, son rouge, puis son pinceau.

Chaque soir, le nouveau bonhomme allait rencontrer celui de la veille. Les toiles étaient posées contre un mur, dans les coulisses. Je regardais ces bonhommes rouges, et noirs, qui nous regardaient. Je n'ai pas osé les photographier, ensemble.

C'était ECHO : un grand piano, une danseuse sur le piano, des danseurs, des images, des voix, des mots, une ampoule, une guitare électrique, un large fauteuil, un écran devenu toile, et la main de Ruben qui guidait son pinceau.

Et puis, dans un coin, un tout petit piano d'enfant. Rouge.

   

   

 







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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 00:17

 


Miracles de l'impression.

(...)

L'autre, le même, le mieux que moi...


Je peux toujours prétendre que oui, j'étais là, mais je n'ai rien vu.
Si ce n'est...
de merveilleuses erreurs.





Miracles in printing

(...)

Somebody else, another myself, a better one...


I can always pretend that yes, I was there, but I didn't see anything.
Except...
Beautiful mistakes.


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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 00:01

 


Miracles de l'impression.

(...)

Un peu effrayant, mais tellement fort, non ? Bonjour Chronos revisité... ;-)


Je peux toujours prétendre que oui, j'étais là, mais je n'ai rien vu.
Si ce n'est...
de merveilleuses erreurs.





Miracles in printing

(...)

A bit scary, but really strong, no ? Hello Chronos revisited... ;-)


I can always pretend that yes, I was there, but I didn't see anything.
Except...
Beautiful mistakes.


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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 01:01
Maintenant que Nicolas vous a initiés aux mystères du Chelsea Hôtel, je me dois de vous révéler les miracles de l'impression...
Quand on imprime un livre, c'est un travail de fourmi. Feuille par feuille (8 pages), on règle, on ajuste, on fait un "calage". On fait des essais, ce sont des feuilles perdues. Et pour la prochaine feuille, on utilisera ces "ratés", pour faire d'autres essais.
Autrement dit, parfois on imprime deux fois, on superpose des images, n'importe lesquelles, sans aucune logique ni aucun ordre, et le hasard s'en mêle. Le plus souvent, ça donne des choses embrouillées et sans intérêt. Et puis, soudain, au milieu de toutes ces tentatives, de tous ces essais empilés, superposés, double-exposés, un miracle. Un heureux hasard. Une erreur merveilleuse.
Et c'est ainsi que Nicolas se transforme en prince de la nuit (new-yorkaise), et, sautant à 15 mètres de haut, effleure du bout des doigt l'enseigne illuminée de ce fameux hôtel...


Vous en voulez encore ? Du plus troublant, du confondant, du vrai mystère, épais, opaque ?
Alors écoutez ceci : il y a plus de 400 photographies dans ce livre. Et sur 2 images (pas 3, pas 10, pas 20, non, 2 seulement) Nicolas porte un peignoir noir et blanc. Et ça vous paraît normal que, "comme par hasard", ces deux images se rejoignent ?

Non, je vous l'assure, il se passe des choses étranges, quand on imprime un livre... mais je n'en dirai pas plus.
Et si on m'interroge, je saurai bien répondre que j'étais là, mais que je n'ai rien vu.
Si ce n'est...
de merveilleuses erreurs...





Since you've been taught by Nicolas about the mysteries of the Chelsea Hotel, I think that I owe you a few secrets about the printing of a book.
Making a book is a step by step process. One sheet after another, you modify, adapt, improve the quality of printing. You print a lot of samples, and in order to limit the loss, you will do tests again on the same "used" sheets of paper.
This means that you will print twice on the same paper, thus creating a double-exposure. Most of the time, the results are meaningless and useless. But sometimes... miracles happen. Serendipity (again). A beautiful mistake.
And this is why you can watch Nicolas in an unrealesed role : Prince of the night in NY city, jumping as high as 15 meters and hardly touching the neon sign of this famous hotel.

You're not convinced ? you need some more proofs ? So please listen to this : this book gathers more than 400 photographs. On only 2 images (not 3, not 10, not 20, no, only 2), Nicolas is wearing a black & white dressing-robe. And now what ? Seriously, do you think that it is normal when, "as if by chance", these 2 images end up together ?

No, honestly, I am convinced that some funny things happen, when printing a book. But I talked too much already.
And should you wish to try and question me, I can always pretend that I was there, but I didn't see anything.
Except...
Beautiful mistakes... 
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Commencements • Start

  • : NICOLAS LE RICHE • LE livre • THE book
  • : Au départ ce bulletin accompagnait une création, celle du livre NICOLAS LE RICHE, paru le 2 octobre 2008. "NICOLAS LE RICHE" : un voyage photographique, inscrit sur près de 6 années par Anne Deniau. Le catalogue raisonné, ou plutôt le catalogue déraisonné, de Nicolas. Au fil du temps, cette page a continué d'exister, d'accompagner Nicolas Le Riche en images... • VERSION FRANCAISE • ENGLISH VERSION • index(s) 3 jan 2009
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